•  

    J'ai des pensées minérales, j'adore faire des ricochets sur mon esprit.

    Mais il y a beau avoir de jolis ronds dans l'eau, quand on jette une pierre dans l'eau, elle reste dedans. Et c'est bien connu une pierre ne sait pas nager !

    Photo : monokowalla

    4 commentaires
  •  

    Il y a de ces personnes qui ne savent se définir qu'au travers des regards des autres.

    Des êtres indéfinis, ou plutôt des existences qui ne seront jamais fini, car elles n'ont finalement même pas commencer là où elles devaient commencer, c'est à dire à la base de ce que l'on est. Je dis de ce que l'on est et pas de ce que l'on croit être, ni de ce que l'on doit être. je sais pas si vous me suivez. Bref, des existences indéfinies dès le commencement du premier braillement du ventre de maman. C'est parfois plus facile de brailler que d'exister. Forcément quand on braille tout le monde se retourne sur vous, les regards donnent l'impression d'exister, même si la déchéance et la superficialité n'ont aucun charme...

    Photo : suo me

    8 commentaires
  •  

    Parce que quand je pense à toi, j'ai cette chanson dans la tête ! lol !

    Très calme à l'extérieur, un volcan à l'intérieur... ! lol!  

    bon, on dira que c'est plutôt lui qui met son jus dedans ! mdr


    10 commentaires
  • Comment écouter ce qui est écris si on ne peut pas lire ce qui est dis ?

    Vaut-il mieux dire ou écrire les choses, telle est la question ?

    J'écris ce que je dis dans ma tête en général, alors vous comprenez ? Je n'écris jamais ce que je pense au sens littérale du terme, c'est trop désapproprié, trop superflu, trop sans importance. Ici les choses se disent sans se prononcer avec le mouvement des lèvres, moi je préfère quand j'écris mes pensées à celui que j'aime et que je bouge mes lèvres sur ses lèvres,quand l'encre devient salive, et quand tout se réécris inlassablement sans aucune ponctuation. Pas de point final, pas de virgule, les phrases deviennent des romans que je m'approprie au fil des envies.

    D'ailleurs, je hais les ponctuations, je sais pas si vous avez remarqué dans mes billets z'ai un peu de mal ?
    Toujours ces petits repères dont l'homme a besoin pour se situer dans la phrase. Comme si pour lui s'était toujours plus facile de trouver un non sens au chose que de se laisser aller dans le bon sens.
    C'est toujours plus facile de se perdre dans sa tête que dans celle des autres, avec ou sans ponctuations d'ailleurs. Et puis sans le sens du terme que vaudrait la pensée qui n'est pas écrite, quelque chose qui ne sert à rien, juste à faire du brouahaha dans la tête...

    Photo : alexia bleedel

    12 commentaires
  •  

    Je vous jures que c'est vraiment comme ça...mais on les aime quand même....


    8 commentaires