• L'écart entre l'insouciance et la folie est parfois très petit. Quand on pense que l'envie crée des situations parfois qui dépassent ce que l'on aurait imaginé, on se dit que l'on ne peut pas toujours garder le contrôle de tout.

    Se contrôler soi même est déjà difficile, quand on pense que certains arrivent à contrôler les autres et qu'ils en font même leur passe temps favori, cela ramène à la conclusion que finalement qu'il y a en chacun de nous un pantin qui s'ignorent.
    Le monde n'est qu'une vaste comèdie où je ne vois que des marionnettes articulées ou désarticulées par leurs pensées ou la pensée des autres, car  tout dans le monde causal est issue de cette faculté que l'être à de penser, de désirer, de vouloir pour engendrer. Y aurait-il une odeur de pénis la dedans ? That is the question ? Oyooo !

     


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  • Je deteste les chiffres.

    Les chiffres pairs en l'occurance , heureuse d'avoir brailler sur cette terre un 29.
    Il faudra d'ailleurs m'expliquer pourquoi, il est si important d'être deux pour s'aimer, alors que le "deux" n'est que le symbole de la dualité.
    Donc, ça ne peut forcément pas marcher, en tout cas pas sur ce plan de l'existence. On se croit, on se donne l'illusion de tout faire pour, mais on se leurre, on se voile la face. 
    Je pense que le chiffre "3" a réellement une place importante dans tout ça.  La logique des causes n'est pas une chose facile à comprendre lorsque l'on reste dans ces instincts humainement primaire et qu'on se veut en dehors de la source primordiale. Ne me demander d'expliquer cette théorie, il m'a fallu plusieurs vies pour la comprendre et cette chose là ne s'explique pas elle se vit tout simplement.

    Photo : jevigar

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  • L'homme sait se gouverner lui-même, il suffit pour cela de le mettre en face de ses désirs et de ses peurs et le tour est jouer...


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  • Juste là pour nous renvoyer l'image, notre propre image,
    celle où l'on sort du combat victorieux,
    celle ou les lèvres bavent le bonheur dans un sourire,
    celle où l'on se pame le visage contre le sol terrasé par de curieux mal ...


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  •  

    Je n'ai jamais sû faire autre chose dans ma vie que de contempler ma vie intérieure. En cela j'ai trouvé tout le sens de ma vie, le jour même où je me suis oubliée, le jour même où j'ai décidé d'ouvrir la porte qui menait vers moi-même. Depuis ce jour, toutes les peurs, toutes les questions, tous les faux-semblants de l'existence ce sont évaporés, je ne vécus plus que des jours emplies de soleils, des moments de subtilités existencielles, me laissant là, pauvre rêveuse devant l'essentiel...je n'ai jamais pû "être" autre chose que cet "être" qui a cessé de vouloir être, m'oubliant dans ce corps si vaste, où la dimension intérieure me nargue comme un ballet en continuelle mouvance. Si l'on me demandait ce que signifie pour moi comprendre cette vie, je dirais c'est que de savoir se toucher soi-même dans l'intimité de l'âme et de savoir comprendre ses propres mouvances.


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